À l’occasion de la Journée des droits de la femme, nous continuons nos portraits des membres de l’association, et cette fois-ci c’est Charlotte Courtois, fondatrice et coordinatrice de Konstelacio, qui s’est prêtée au jeu de la présentation.
1. Présente-toi en quelques mots
Je suis Charlotte Courtois, fondatrice et coordinatrice de Konstelacio. Je suis passionnée de diversité culturelle et j’aime profondément transmettre les valeurs qui me tiennent à cœur : curiosité, respect, bienveillance, empathie… L’humain (et le voyage pour rencontrer les autres humains !) a une place centrale dans ma vie !
2. Quel plat a marqué ton enfance ?
Je pourrais imaginer un plat complexe, un plat de fête, un plat inhabituel, mais finalement, ma madeleine de Proust ce sont les œufs mimosa de ma grand-mère paternelle, Mamie Jeannine. Je la vois encore au bout de la table, avec son torchon, préparer les œufs avec sa mayonnaise inégalable (avec les œufs entiers, rien ne se perd !). Et puis la disposition dans le grand plat, avec les crudités, qui prenait place au milieu de la grande tablée avec toute la famille. Quelle nostalgie !
3. Quel style ou artiste du monde nous conseillerais-tu d’écouter ? Comment l’as-tu découvert ?
J’ai envie de dire Lyra, bien sûr, le groupe que nous avons créé dans le cadre du projet éponyme de Konstelacio, mais pour vous faire découvrir autre chose, je vais dire Titi Robin. Particulièrement l’album « Taziri » avec le lumineux et rayonnant Mehdi Nassouli. Je les ai découverts par hasard, en concert à Saint Brieuc. Depuis, leur musique a une place toute particulière dans mon quotidien, pour me faire voyager même quand je suis bien au chaud chez moi.
4. Quel conte/livre/légende t’a marquée et pourquoi ?
Ce n’est pas très original mais je dirais « Le Petit Prince ». Parce qu’il est curieux, parce qu’il découvre en voyageant toutes les facettes (joyeuses et moins joyeuses) de l’humain et parce qu’il nous invite à voir le monde avec des yeux d’enfant.
6. Que dirais-tu à quelqu’un qui envisage de rejoindre l’association ?
5. Pourquoi t’es-tu engagée dans Konstelacio et que lui souhaites-tu pour la suite ?
J’ai créé Konstelacio parce que j’avais envie de partager mon émerveillement pour la diversité de notre monde avec les plus jeunes. Leur montrer, le plus tôt possible, que découvrir l’autre est passionnant et nous aide à mieux nous connaître nous-mêmes.
L’empathie, pour tous, sans conditions
Faire la bise, ça m’avait tellement manqué ! Avec une petite embrassade, le « hug », c’est encore mieux !
La main de Fatma, ou « khomsa ». Elle ne me quitte presque jamais !
Bérénice Bejo, toute en simplicité, en sincérité et en bienveillance.