Les temps sont tristes… Qu’il est difficile de garder le sourire lorsqu’arrivent de Paris, de Beyrouth, de Bagdad, du Sinaï, de Tunisie, des nouvelles qui nous déchirent le cœur et souvent nous font perdre espoir. Et la liste est malheureusement loin d’être complète.

Il y a des jours où on se demande « A quoi bon se battre ? ».
Et il y a des temps comme ceux que nous vivons où la vie nous rappelle un peu trop violemment que la lutte pour un monde meilleur n’est ni un choix ni un droit.

Elle est un devoir.

Alors on se relève, courbatus, avec la gueule de bois et les yeux encore rouges. Et on se remet au travail: on pense, on crée, on chante, on crie, on joue, on réunit, on écoute, on parle, on écrit, on éduque, on dessine, on imagine un monde plus beau…

On fait en sorte de remettre beaucoup d’amour et de respect dans la balance pour qu’elle penche un peu plus du côté positif que du côté négatif… Chacun à son niveau et à sa manière mais tous unis.

Nous tenions à prendre la plume pour insuffler un peu d’espoir dans vos cœurs. La meilleure des façons est de laisser parler les enfants. Souvenez vous de notre échange scolaire franco tunisien l’année dernière.

Voici quelques extraits de ce que nos élèves français et tunisiens avaient à dire de la diversité culturelle :

Et revoici quelques notes de Lyra pour vous rappeler que la diversité culturelle est belle. Que le mélange des identités, des religions, des origines peut mener à de sublimes échanges. Que nous devons les protéger.

Et revoici quelques notes de Lyra pour vous rappeler que la diversité culturelle est belle. Que le mélange des identités, des religions, des origines peut mener à de sublimes échanges. Que nous devons les protéger.

Alors chez Konstelacio, nous allons continuer à répandre de belles valeurs chez les enfants et les adultes, sans relâche, car nous savons que là se trouve la clé d’un avenir meilleur.
N’hésitez pas à vous joindre à nous dans cette démarche.

Avec tristesse mais une conviction et une motivation plus fortes que jamais,
Amicalement,
Charlotte et l’équipe de Konstelacio